Une équipe de chercheurs du Laboratoire Univers et Théories (LUTH, Observatoire de Paris/ CNRS/Université Paris Diderot) (1) dirigée par Jean-Michel Alimi vient de réaliser pour la première fois le calcul de la structuration de tout l'Univers observable, du Big Bang jusqu'à aujourd'hui. Première modélisation de la structuration de tout l'Univers observable du Big-Bang jusqu'à aujourd'hui Consortium Deus

J'ai vraiment du mal à comprendre sans palper, toucher, visualiser - ce concept qui pour moi s'avère purement virtuel et je ne peux y donner aucune dimension :

doivent utiliser un PC portable moyen de gamme ... PS a propos de modélisation ; un ami a moi , plutôt très point , a eu une discussion passionée avec un "CNRS expert" .. il y a trois quatre ans , au sujet d'une modélisation... Bref après échanges pointus ( j'ai assisté a un , pas tout compris d'ailleurs) Mon pote a eu en main les éléments .. bin il a fait remarquer que l'introduction de constantes à la fin les fameuses béquilles qui vont bien fait que c'est plus du bricolage et pas loin de l'escroquerie que un essai sincère ... Deux autres potes de mon ami y ont mis leur nez ( Un centralien excellent pianiste , et une mineure ' sortie mjeure de l'école de smines ) bin z'ont trouvé que c'est pas sérieux !!! Bref pas mal d emodélisation sont juste pour jstifier une hypothèse béquilles constantes qui vont par ci par la . Cela dit pas question pour moi de mettre en doute la modélisation que tu cite .. Mais parfois des scientifiques sont un peu partisans et jouent un peu, a peu près sur qu'on ira pas analyser leur équations et autres Algorithme

Il n'empêche... qu'avant de se frotter à l'univers, il me semble qu'on pourrait avoir l'humilité de se poser quelques questions sur l'homogénéité improbable du ralentissement de la vitesse de la lumière dans le vide inter atomique d' un diamant ... http://forums.futura-sciences.com/attac ... e-diam.jpg En effet, suivant les différents axes suivant lesquels on présente ce solide carboné, les empilements d'atomes dans le vide inter-atomique n'ont pas la même forme...Alors que dans le même temps, il est incontestable que l'influence de la proximité des atomes joue sur la vitesse de la lumière et ce, de manière non négligeable(division par 2,4 de la vitesse de la lumière visible dans un diamant quel-qu’en soit la direction d'observation) Ceci étant établi, si l'on veut espérer comprendre quelque chose un jour à notre univers, il serait préférable de trouver une loi de variation de vitesse de la lumière dans le vide inter atomique qui soit fonction de sa géométrie et des dispositions des différents atomes... Bref, commencer petitement par des explications précises sur la variation de la vitesse de la lumière dans le vide(intersidéral ou inter atomique) avant de tirer des plans sur la comète... Enfin, c'est mon humble avis...

Petit clin d’œil cosmologique pour Haaa.... L’autre physique d’un Univers parallèle imaginaire… Bonjour, Je vais vous raconter une histoire imaginaire qui aurait pu se passer dans un univers parallèle au nôtre… La véritable divergence avec notre univers se situe aux alentours de 1680 avec l’invention absolument fabuleuse d’un inventeur génial du nom de « Créaventeur » qui, à cette époque, réussi à fabriquer un appareil révolutionnaire dénommé le « picoscope » qui, comme son nom ne l’indique pas était capable de mesurer le centième de picomètre…(En fait, le nom de l’appareil avait été donné avant certaines modifications majeures qui ont permis de gagner très rapidement deux ordres de grandeur sur la mesure… Soit, de mesurer la 10^-14 partie du m) Bref, cette invention tombait fort à pic puisque en 1686 le Sieur Newton venait de trouver une nouvelle théorie qui semblait expliquer avec une précision redoutable le mouvement de tous les corps… Très rapidement, le succès de cette théorie fut tel, que des budgets, quasiment illimités pour l’époque, furent débloqués par les grands de ce monde pour confronter cette nouvelle théorie à l’expérience et notamment dans ses prévisions que les champs gravitationnels avait une action sur le parcours des choses et ce quelqu’en soit leurs masses… Ainsi le grand Newton imagina alors un dispositif expérimental qui permettrait de confronter sa théorie et aussi de mesurer en prime, indirectement, la vitesse de la lumière. Je rappelle au lecteur que l’on connaissait déjà cette dernière en 1676 d’après les calculs de l’astronome Ole Romer en explication d’une anomalie constatée sur la trajectoire des lunes de Jupiter… (La valeur trouvée à l’époque était de l’ordre de 225 000 km/s) Le dispositif imaginé alors par Newton pour parvenir à ses fins était le suivant : C’était une énorme sphère métallique de 100m de diamètre flottant sur un bain de mercure avec sur son fond intérieur une lanterne dotée d’un dioptre surmontée d’une lentille parfaitement collimatée (du même fabriquant aujourd’hui disparu que celles du « picoscope ») permettant de focaliser parfaitement 100m plus haut, au sommet de la sphère, les rayons lumineux de la lanterne sur un dépoli. Au sommet de la sphère, cerise sur le gâteau, le fameux « picoscope » (appareil au combien précieux) trône pour mesurer des déplacements infimes de la lumière en fonction de l’inclinaison de la sphère par rapport à la verticale… Malheureusement, ce que ces pauvres gens n’avaient pas prévu, c’est l’écart d’un facteur 2 entre la mécanique classique et le réel que plus tard « Einstein » dans notre univers, mettra en évidence, avec sa relativité générale… Bref, l’expérience est donc réalisée et malgré les nombreuses difficultés pour focaliser précisément le faisceau lumineux sur la partie de la sphère en vis-à-vis de la lanterne, la valeur tombe… La déviation mesurée entre la position verticale et la position horizontale du dispositif dans son bain est de : H= 1,07 picomètre à +/- 0,005 picométre près Fort de sa théorie et connaissant la constante gravitationnelle avec 2 chiffres significatifs après la virgule, Newton déduit que le temps que met la lumière pour parcourir les 100m qui séparent les deux extrémités de la sphère est T =(2H/G)^(1/2)=4,67 10^(-7) s Ce qui donne pour vitesse de la lumière 214 000 km/s valeur confirmée par les calculs fait une décennie auparavant par Ole ROMER… La communauté scientifique internationale devant une telle confirmation de ces mesures expérimentales à 10 années d’écart et par deux moyens totalement différents se pâme d’éloge pour ces deux hommes et leurs attribuent le prix N’Chang de physique… (N’Chang étant le célèbre inventeur chinois de la poudre à canon qui, pour se faire pardonner par l’humanité des conséquences éventuellement néfastes de son invention, remet tous les ans une partie des intérêts annuels de son immense fortune gérée en action de père de famille aux chercheurs les plus méritants) Ainsi pendant prés de 2 siècles dans ce monde parallèle, 8 générations de petits enfants du monde vont apprendre que la vitesse de la lumière est de 214 000 km/seconde… Ce qui, vu l’utilisation qu’on en fait quotidiennement ne va pas les déranger beaucoup… Le coup de tonnerre va venir en 1849 quand un certain dénommé Fizeau (ancien étudiant en médecine qui s’est fourvoyé dans la physique) va imaginer un dispositif mécanique pour mesurer directement la vitesse de la lumière… Une roue dentée qui tourne plus ou moins vite et qui laisse passer plus ou moins la lumière sur un aller retour de prés de 17,266km entre Montmartre et le Mont Valérien et ce, comme si la vitesse mesurée étaient indépendante de la vitesse du repère du laboratoire… La aussi… le résultat de l’expérience tombe… 300 000km/s. C’est un coup de tonnerre dans le monde scientifique… l’expérience est reproduite à plusieurs endroits dans le monde entier et à chaque fois cette nouvelle célérité de la lumière est confirmée…Laissant le monde dans la perplexité… d’où vient le facteur racine de 2 entre la mesure de Newton et celle de Fizeau… Pendant prés de 50 ans cette nouvelle va laisser le monde scientifique dans la stupeur… Quand un certain « Einstein » petit ingénieur du bureau des brevets en Suisse va avancer certaines hypothèses audacieuses… « Le temps que met la lumière à parcourir le trajet à l’aller, n’est pas le même que le temps que met la lumière à parcourir son trajet retour » L’écart des mesures de la célérité de la lumière trouvées par Newton sur un trajet aller, n’est pas le même que la vitesse moyenne calculée sur le trajet aller/retour … Ceci est simplement du à la contraction des longueurs dû à l’écroulement dimensionnel de notre univers sur lui même… Ainsi, le temps qui s’écoule lors du trajet allé X/212132 km/s (valeur trouvée par Newton) Plus le temps du trajet retour X/512132 km/s Est égal au temps trouvé par Fizeau 2X/300000 km/s C’est écart de vitesse important entre l’aller et le retour étant simplement l’effet de la contraction de l’univers… C’est à ce moment là que je me réveille en nage de mon cauchemar, et que l’histoire s’arrête…Il était temps, j’allais disparaitre avec vous dans un trou noir…

T'en sais des choses dis donc !!!

J'ai vraiment du mal à comprendre sans palper, toucher, visualiser - ce concept qui pour moi s'avère purement virtuel et je ne peux y donner aucune dimension : Pas mieux. Je préfère en rester à "l'univers est un gigantesque crocodile", ça me paraît encore plus cohérent.

Ceci étant établi, si l'on veut espérer comprendre quelque chose un jour à notre univers, il serait préférable de trouver une loi de variation de vitesse de la lumière dans le vide inter atomique qui soit fonction de sa géométrie et des dispositions des différents atomes... Bref, commencer petitement par des explications précises sur la variation de la vitesse de la lumière dans le vide(intersidéral ou inter atomique) avant de tirer des plans sur la comète... Enfin, c'est mon humble avis... Il est sans doute bien trop optimiste de penser que l'étude géométrique des configurations atomiques joue un rôle primordial quand on sait que le vide n'est pas vraiment vide mais sujet à des fluctuations quantiques.

Excellent! Ca donne le tournis! Aberrant que des créatures comme nous existent: on est quoi au milieu de tout ça??? Moins que rien.... et pourtant nous avons la capacité de nous interroger là dessus.....

Excellent! Ca donne le tournis! Aberrant que des créatures comme nous existent: on est quoi au milieu de tout ça??? Moins que rien.... et pourtant nous avons la capacité de nous interroger là dessus..... et tu n'es sûrement pas le seul... 8)

il n'empêche... "Haaa" n'a toujours pas pris position sur ce texte là... :? L’autre physique d’un Univers parallèle imaginaire… Bonjour, Je vais vous raconter une histoire imaginaire qui aurait pu se passer dans un univers parallèle au nôtre… La véritable divergence avec notre univers se situe aux alentours de 1680 avec l’invention absolument fabuleuse d’un inventeur génial du nom de « Créaventeur » qui, à cette époque, réussi à fabriquer un appareil révolutionnaire dénommé le « picoscope » qui, comme son nom ne l’indique pas était capable de mesurer le centième de picomètre…(En fait, le nom de l’appareil avait été donné avant certaines modifications majeures qui ont permis de gagner très rapidement deux ordres de grandeur sur la mesure… Soit, de mesurer la 10^-14 partie du m) Bref, cette invention tombait fort à pic puisque en 1686 le Sieur Newton venait de trouver une nouvelle théorie qui semblait expliquer avec une précision redoutable le mouvement de tous les corps… Très rapidement, le succès de cette théorie fut tel, que des budgets, quasiment illimités pour l’époque, furent débloqués par les grands de ce monde pour confronter cette nouvelle théorie à l’expérience et notamment dans ses prévisions que les champs gravitationnels avait une action sur le parcours des choses et ce quelqu’en soit leurs masses… Ainsi le grand Newton imagina alors un dispositif expérimental qui permettrait de confronter sa théorie et aussi de mesurer en prime, indirectement, la vitesse de la lumière. Je rappelle au lecteur que l’on connaissait déjà cette dernière en 1676 d’après les calculs de l’astronome Ole Romer en explication d’une anomalie constatée sur la trajectoire des lunes de Jupiter… (La valeur trouvée à l’époque était de l’ordre de 225 000 km/s) Le dispositif imaginé alors par Newton pour parvenir à ses fins était le suivant : C’était une énorme sphère métallique de 100m de diamètre flottant sur un bain de mercure avec sur son fond intérieur une lanterne dotée d’un dioptre surmontée d’une lentille parfaitement collimatée (du même fabriquant aujourd’hui disparu que celles du « picoscope ») permettant de focaliser parfaitement 100m plus haut, au sommet de la sphère, les rayons lumineux de la lanterne sur un dépoli. Au sommet de la sphère, cerise sur le gâteau, le fameux « picoscope » (appareil au combien précieux) trône pour mesurer des déplacements infimes de la lumière en fonction de l’inclinaison de la sphère par rapport à la verticale… Malheureusement, ce que ces pauvres gens n’avaient pas prévu, c’est l’écart d’un facteur 2 entre la mécanique classique et le réel que plus tard « Einstein » dans notre univers, mettra en évidence, avec sa relativité générale… Bref, l’expérience est donc réalisée et malgré les nombreuses difficultés pour focaliser précisément le faisceau lumineux sur la partie de la sphère en vis-à-vis de la lanterne, la valeur tombe… La déviation mesurée entre la position verticale et la position horizontale du dispositif dans son bain est de : H= 1,07 picomètre à +/- 0,005 picométre près Fort de sa théorie et connaissant la constante gravitationnelle avec 2 chiffres significatifs après la virgule, Newton déduit que le temps que met la lumière pour parcourir les 100m qui séparent les deux extrémités de la sphère est T =(2H/G)^(1/2)=4,67 10^(-7) s Ce qui donne pour vitesse de la lumière 214 000 km/s valeur confirmée par les calculs fait une décennie auparavant par Ole ROMER… La communauté scientifique internationale devant une telle confirmation de ces mesures expérimentales à 10 années d’écart et par deux moyens totalement différents se pâme d’éloge pour ces deux hommes et leurs attribuent le prix N’Chang de physique… (N’Chang étant le célèbre inventeur chinois de la poudre à canon qui, pour se faire pardonner par l’humanité des conséquences éventuellement néfastes de son invention, remet tous les ans une partie des intérêts annuels de son immense fortune gérée en action de père de famille aux chercheurs les plus méritants) Ainsi pendant prés de 2 siècles dans ce monde parallèle, 8 générations de petits enfants du monde vont apprendre que la vitesse de la lumière est de 214 000 km/seconde… Ce qui, vu l’utilisation qu’on en fait quotidiennement ne va pas les déranger beaucoup… Le coup de tonnerre va venir en 1849 quand un certain dénommé Fizeau (ancien étudiant en médecine qui s’est fourvoyé dans la physique) va imaginer un dispositif mécanique pour mesurer directement la vitesse de la lumière… Une roue dentée qui tourne plus ou moins vite et qui laisse passer plus ou moins la lumière sur un aller retour de prés de 17,266km entre Montmartre et le Mont Valérien et ce, comme si la vitesse mesurée étaient indépendante de la vitesse du repère du laboratoire… La aussi… le résultat de l’expérience tombe… 300 000km/s. C’est un coup de tonnerre dans le monde scientifique… l’expérience est reproduite à plusieurs endroits dans le monde entier et à chaque fois cette nouvelle célérité de la lumière est confirmée…Laissant le monde dans la perplexité… d’où vient le facteur racine de 2 entre la mesure de Newton et celle de Fizeau… Pendant prés de 50 ans cette nouvelle va laisser le monde scientifique dans la stupeur… Quand un certain « Einstein » petit ingénieur du bureau des brevets en Suisse va avancer certaines hypothèses audacieuses… « Le temps que met la lumière à parcourir le trajet à l’aller, n’est pas le même que le temps que met la lumière à parcourir son trajet retour » L’écart des mesures de la célérité de la lumière trouvées par Newton sur un trajet aller, n’est pas le même que la vitesse moyenne calculée sur le trajet aller/retour … Ceci est simplement du à la contraction des longueurs dû à l’écroulement dimensionnel de notre univers sur lui même… Ainsi, le temps qui s’écoule lors du trajet allé X/212132 km/s (valeur trouvée par Newton) Plus le temps du trajet retour X/512132 km/s Est égal au temps trouvé par Fizeau 2X/300000 km/s C’est écart de vitesse important entre l’aller et le retour étant simplement l’effet de la contraction de l’univers… C’est à ce moment là que je me réveille en nage de mon cauchemar, et que l’histoire s’arrête…Il était temps, j’allais disparaitre avec vous dans un trou noir… que ce soit en MP ou sur Fopo... 8)

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