Selon certaines observations le loup en tant que prédateur serait totalement nécessaire à la chaîne animale et végétale, car lorsque il tue une bête il n'en mange qu'une partie. La carcasse attire à son tour de plus petites bêtes, puis des toutes petites, et enfin des bêtes minuscules, jusqu'à ce que tout ça soit absorbé et transformé par toutes les formes de vies.
Cette observation avait été mise en évidence dans des espaces à l'étranger où le loup avait brutalement disparu, et curieusement la végétation était également touchée en plus d'une disparition de certains autres animaux.
En France il me semble que dès qu'on voit une charogne dans la nature elle est conduite à l'équarrissage. Grosse erreur, la nature n'a pas besoin de l'homme pour nettoyer.
Un jour en me promenant le long d'une rivière je trouve un sac de plastique épais noué d'un lien solide, contenant visiblement quelque chose. Curieux de nature, j'ouvre le sac et là une horreur biologique: un cadavre de hérisson, dans une sorte de jus d'une odeur épouvantable.
Grosse erreur de laisser ainsi un cadavre à l'abri des éléments et de la vie animale, c'est là que se développent des bactéries dans une forte concentration. A l'état naturel, les micro-organismes présents dans les charognes sont détruits, notamment, par les sucs gastriques des animaux qui les absorbent et les éparpillent, par le soleil aussi, et tout se passe bien.