Le premier problème de la société de consommation, c'est qu'elle doit entretenir un système capitaliste basé sur les profits boursiers, les profits des entreprises, il ne s'agit pas d'une société de bien, c'est a dire matérialiste uniquement basé sur le besoin d'avoir un objet, une machine, non, le besoin d'objet est bien là, mais il est monopolisé par les intérêts financiers qui ont besoin d'une surconsommation d'objet fragile, nous vendre une voiture qui dure 10 ans sans ennuis n'arrange pas les intérêts financiers, eux veulent qu'elle soit a durée définie l'automobile, tout doit être a durée limitée, favorisant le nouvel achat qui fera vivre et perdurer l'entreprise qui fabrique l'objet.
Si l'ordinateur durait 15 ans, une grande partie des entreprises qui fabriquent ce genre de machine feraient faillites rapidement, ils sont obligés de courir après le rendement financier, donc la vente rapide, donc la médiocrité de fabrication qui poussera vers le nouvel achat, nouvel achat qui fera naitre les bénéfices pour le fabriquant.
Mais attention, le société de consommation est une perversion, car les laboratoires en charge de la santé eux aussi doivent faire des bénéfices pour ne pas faire faillites, ce qui veut dire qu'ils ne cherchent pas la guérison totale, non, ils feraient faillites, ils cherchent la guérison et les traitement sur le long terme, plus rentable.
La science, la recherche, sont perverties par le système monétaire, qui impose ses lois absurdes de profits, de gains annuels.
Nous pourrions être aussi une société matérialiste de bien fabriqué, d'objet manufacturé, la perversion de ce genre de société vient de l'argent et des besoins qui en découlent, besoin de rendement boursier, de gain, de profit a court terme, a cause de cette manière grandement stupide de faire, les gens sont poussées au travail pour fabriquer sans arrêt des produits de basses qualités, qui feront la fortune d'une petite minorité pendant que les autres trimes pour concevoir et fabriquer.
La est le cité absurde de la société de consommation, qui devrait muter en une société de bien, des biens plus solides, plus nobles, d'une qualité qui n'obligerait personne a bosser comme des déments sur des postes de travail usants et fatiguant.
La science serait libre, et pourrait enfin montrer sa puissance mentale, là, nous pédalons en tricycle tout en croyant rouler en Ferrrari !