Médias et politiques peuvent ils nous imposer ou nous désigner une émotion collective ?C'est quasiment un sujet de philo.
C'est comme ça que j'interprète l'actualité de cette semaine. On nous impose une émotion nationale, donc je ferme le poste. J'estime ne pas être obligé d'avoir les mêmes émotion que mon voisin.
J'ai en tête des choses horribles, traités comme des banalités par les médias et avec indifférence par les politiques, akors que chez moi, elles ont suscité une vive émotion.
Je revendique mon droit à une émotion différente.
Oui, les médias nous imposent des émotions en ne traitant que du pire, et jamais du meilleur ou presque.