Si Marine Le Pen arrive au pouvoir et tente le clash direct elle devra faire avec 75 000 policiers/gendarmes contre 14 000 000 de personnes. Ce qui permet de calculer que les étrangers et Français d'origine étrangère sont près de 200 fois plus nombreux que les forces de l'ordre en service.
1-Dans les 75.000 policiers et gendarmes, un certain nombre sont eux-même des fils d'immigrés venus du Maghreb/Afrique du nord. Comment réagiront certains d'entre eux lorsque on les enverra mater les banlieues les armes à la main?
2-Ensuite, ce ne sont pas 14.000.000 d'étrangers ou de fils d'étrangers qui souhaitent incessamment sous peu massacrer les français de souche... :
Le jour de l'inévitable confrontation, une large majorité d'entre eux prendra le parti de la France et de la démocratie en danger. Parce qu'on oublie tout le temps d'en parler, mais de très nombreux étrangers ont réussi en France, grâce à notre école, à notre système et à notre protection sociale. Ceux-la aspirent a vivre tranquillement ici, sans faire de vagues. Ceux qui nous emmerdent, ce sont les quelques familles de cas sociaux laissées en roue libre, qui gangrènent des quartiers entiers et embrigadent des jeunes paumés, et qui ne trouvent jamais face à eux une justice forte et déterminée, continuant éternellement et sans limite a pourrir la vie des gens honnêtes dans de nombreuses villes (et maintenant villages!). Ces gens-la doivent être sévèrement punis et destitués de la nationalité française.
Ce n'est pas parce que la France n'a pas le courage d'en finir avec une minorité de parasites, et ce depuis des décennies, qu'il faut voir derrière chaque étranger un ennemi. :
Les partis d'extreme droite n'ont jamais rien fait de bon et ne feront jamais quelque chose de bon.
Le problème, c'est que les seuls partis censés garantir une vie merveilleuse en démocratie ont lamentablement échoué, et nous ont conduit tout droit au marasme que l'on connait. Mieux, ils ne semblent pas tellement avoir pris la mesure de la catastrophe à venir.
Notre pays est en faillite, sous perfusion permanente, incapable de se réformer, et au bord de la guerre civile si des mesures radicales ne sont pas envisagées au plus tôt dans de nombreux domaines.