Depuis le 1er janvier, en fait, le CSA considère le président sortant comme candidat présumé. Et applique donc une règle spécifique dans le décompte de son temps de parole. Ainsi, précise Christine Kelly, le CSA différencie la partie "régalienne" de ses interventions, par exemple quand il rend hommage aux soldats morts en Afghanistan, et qui ne sera pas décompté. En revanche, quand il intervient dans le débat national, ce temps "est quasiment attribué au candidat présumé". Ainsi, dès lors que Nicolas Sarkozy annoncera sa candidature, son "enveloppe" continuera de grossir, toujours selon le même principe.
le csa depuis le 1er janvier :
équité entre les candidats
le net n'est pas soumis au csa mais bon
cela serait plus juste
c'est fou