Si il y'en a qui se sentent mieux avec le latin, le rite ancien etc..je n'ai rien contre.
On ne peut pas avoir quelque chose contre, d'ailleurs. Cela reviendrait à en vouloir à ceux qui préfèrent le thé au café. L'important, pour les croyants "formalistes", est de faire attention à ce que les textes et les rites ne prennent pas l'ascendant sur le cœur de la foi. Autrement dit, que la forme, justement, ne prime pas le fond. C'est d'ailleurs le défaut des cathos tradis, comme par hasard ; ils disent avoir raison quand ils appliquent une "notice" qui explique comment pense Dieu... C'est ce que j'ai déjà appelé ici la foi des guichetiers de sous-préfecture.
Je dis seulement que ce qui compte le + est de chercher à se rapprocher de Dieu.
Absolument. Chemin balisé ou freestyle, seul compte le résultat : aimer et ne rien regretter.