En deux mots pour ne pas repartir dans le HS religieux : du christianisme, donc in fine, de Dieu.
Bottage en touche.
Pourquoi ne pas reconnaître que le Moyen Âge s'appuyait sur toute la Bible, et particulièrement sur l'ancien testament, par opposition aux fades chrétiens contemporains qui ne veulent retenir que les sermons les plus gnangnans de Jésus, allant jusqu'à nier le caractère divin du reste ?
Vous ne voyez pas le lien entre cela et la perte du sentiment du sacré, de la grandeur, de l'identité esthétique et culturelle (donc publique) de la chrétienté ?
Cette attitude de bonne femme, n'en faire qu'un ensemble de recommandations morales extraites des évangiles, a accompagné la privatisation des opinions religieuses mise en place par le libéralisme. Avant, des empereurs, maintenant, des Katou.