Inutile. Votre propos est caricatural. J'ai déjà expliqué la position de l'Eglise, si vous ne me lisez pas c'est votre problème.
Je viens de relire votre premier post sur l'autre sujet à propos de l'enfer et j'ai trouvé ça :
1036 Les affirmations de la Sainte Écriture et les enseignements de l’Église au sujet de l’enfer sont un appel à la responsabilité avec laquelle l’homme doit user de sa liberté en vue de son destin éternel. Elles constituent en même temps un appel pressant à la conversion : " Entrez par la porte étroite. Car large et spacieux est le chemin qui mène à la perdition, et il en est beaucoup qui le prennent ; mais étroite est la porte et resserré le chemin qui mène à la Vie, et il en est peu qui le trouvent " (Mt 7, 13-14)
Ce passage montre que la conversion au catholicisme est obligatoire pour éviter l'enfer, non?
Existe t-il d'autres moyens d'après l'Eglise?
Non et si vous me lisiez vous le sauriez :
De par le dessein bienveillant de Dieu sur l’homme, l’Église visible, peuple rassemblé par Dieu, est donc perçue comme une médiation obligatoire en tant que "sacrement du salut" (Lumen Gentium, 48), mais tout homme a un rôle à jouer dans le mystère de la rédemption : Dans l’extrême diversité de leurs lumières et de leur fonctions, tous les membres de la famille humaine jouissent d’une essentielle égalité devant Dieu. Providentiellement indispensables à l’édification du Corps du Christ, les "infidèles" doivent bénéficier à leur manière des échanges vitaux de ce Corps. Par une extension du dogme de la communion des saints, il semble donc juste de penser que, bien qu’ils ne soient pas eux-mêmes placés dans les conditions normales du Salut, ils pourront néanmoins obtenir ce Salut en vertu des liens mystérieux qui les unissent aux fidèles. Bref, ils pourrons être sauvés parce qu’ils font partie intégrante de l’humanité qui sera sauvée (Henri De Lubac, Catholicisme, p. 194).
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