Pour réduire les émissions de CO2 à moindre coût, il y a toujours la réduction de la vitesse maximale des poids lourds à 80 km/h; de l'ordre de 1% de réduction en claquant des doigts.
Ensuite, la rémigration de 2 millions d'africains qui chez eux n'émettent que 500 kg par an au lieu de 8000 en France. 3% de gain.
Puis la mise au travail, c'est à dire licenciement, d'un million de fonctionnaires qu'il ne faut pas mépriser car ces gens sont certainement capables d'aller laver la vaisselle dans les restaurants. Ce qui évitera l'arrivée d'au moins 2 nouveaux millions (en intégrant la famille non productive) d'éxogènes. Encore 3%, mais pas de réduction, d'augmentation en moins. Un peu comme la différence entre faire des économies et taxer plus, c'est subtil...
Mais nous préférons financer des moulins à vent au profit de fonds de pensions permettant à des canadiens gros émetteurs de CO2 de mieux vivre...
